14 mars 2007

Indigenas Guaymi

Aprés avoir quitter le monde des arbres, et me retrouver avec toute la famille, je suis partis dans le sud pour un autre volontaria, avec pour seules infos :
¨Bajase a Sabanillas de San Vito, ahi hay un señor, Marcos, que te esta esperando...¨
Mais avec une petite idée du projet :
¨Hay que medir un trayecto de agua de una naciente hasta un pueblito...¨
! Adelante !

Je traverse le village "La Casona" avec ce vieux Marcos, nous passons quelques montagnes et vallées, pour arriver a une autre comunauté: Une école, 4 ou 5 maison, un "salon", un chiote public et bien sur un terrain de footbal. Les habitants restent à l'ecart et ne comunique pas trop.


Petit à petit, j'en apprend plus sur le projet. Le travail se programme alors en differentes
parties:
-Mesurer le débit de chacunes des sources.


-A l'aide d'une boussole, de mon engin (le "mémometre"), et d'une ficelle de 20 m: relever la distance, l'orientation, et les differences de hauteur du trajet de la future canalisation...

Bon, le "mémometre" est pas trop fonctionnel, précis oui mais surtout trés lent a utiliser !
Je m'échappe alors deux jours de la reserve pour aller trouve un altimetre.
A mon retour, les mesures se continuent plus rapidement: Un compagnon à l'avant armée de sa machette ouvrant le chemin, deux autres tenant la ficelle et plantant un baton à chaque points mesurés et moi à l'arriere anotant toutes les mesures...
Quelques sourires commencent a apparaitre sur les visages des differentes personnes, mais la plupart des conversations sont en dialecte Guaymi, je reste encore à l'écart. Heuresement les gamins s'amusent: rires et jeux partagés... Je m'en retourne dormir, chasse les poules, cochons et autre sur mon passage et m'endort d'un sommeil pesant. Ce village me rappelle le pueblo dans "le marsupilamie en colombie", les bandes dessinés de Franquin, avis aux amateurs pour ce donner une image...

La fete annuelle du village est assez comique, je redescend pour l'ocasion : partie de footbal, danses... Le tout arrosée de chicha de mais, l'alcool tradicionnel: mais moulu, tosté, fermenté avec du sucre de canne. La majeure partie est ivre, de nombreuses disputes, les coups volent... Décevant !

Les mesures continuent, au fur à mesure, le projet grandit: Il faut aussi mesures le détail de chaque maison... ! Adelante !

Je passe dans plusieurs maisons au fil du projet. Les mesures terminés, je charge tout dans l'ordi et commence a sortir les plans.

Avant de repartir, une autre fete est prevu dans la premiere comunauté. Avec Oscar, nous voila en marche pour quelques bouteilles de chicha... Les danses sont assez comique: Les femmes sont assi d'un coté et attendent que l'un des hommes (le + ivre en géneral) lance l'invitation. Bueno, ultima botella de chicha, y nos vamos... si, si, si !

Le réveil est joyeux, mais il faut penser a repartir, Bueno, ultima botella de chicha, y nos vamos... si, si, si !
Bueno, ultima botella de chicha, y nos vamos... si, si, si !
Bueno, ultima botella de chicha, y nos vamos... si, si, si !
...
Le retour a la ville ne sera qu'un bref souvenir.

Familia, familia



Le mois de fevrier, la compagnie touristique international ¨Memo y sus mamas ticas¨ a eu le plaisir d´acceuillir la famille francaise...
Au programme de nombreuses excursions prévus, on gardera en souvenir:

0 Le voyage en bateau pour voir les baleines ou on a péché qu´un gros dauphin...
0 L´éxpédition avec les parents dans la foret tropical humide dense pluvieuse brumeuse dangereuse...

Au matin, une petite préparation du filet pour atraper les félins,

Une petite marche pour partir en chasse, Maman trouve rapidement ce qu´elle chercher...
Un jolie ¨terciopelo¨ !



Finalement le filet attrapera seulement quelques singes...



0 Et pour finir, une aventure á 20 000 lieux sous les mers :
Mon pépé qui réaprenait á nager...



Merci au visitants: Tonton Raymond, Tata Nicole, Papa, Maman, et Pépé
d´etre venue voir la compagnie ¨Memo y sus mamas ticas¨...