18 juin 2007

Regressando por la playa

Derniére image avant une petite galére pour sortir par les plages,


et enfin retrouver la ville et tout ces conforts....

Campement des Dantas (in)visibles

Aprés avoir fait la fiesta a la casita, on est rentré faire un dernier petit campement, histoire de voir les tapirs ou quelques autre court sur pattes. Et la c'est la grosse surprise...
On a rien vu !
Alors on a remballé, ca y est c'est la fin, sniff...

Mais les tapirs aparaissent et nous font leur au-revoir
Muchas gracias

11 juin 2007

Fiesta á la casita

Fatigué du travail dans les autres campements, on est allé se divertir un peu dans un arbre magique: Il se porte avec d'innombrable échasses, formant des coins et des recoins, et des trous, des portes, des escaliers... Je commence ascencion dans cette cathédrale vivante, j'arrive á la fin du prmier étage... Une petite surprise m'attent: Un nid de guépe !! Aïe, ouille, aïe, descente en 8 ém vitesse.
Résultat: Quelques piqures et un bon avertissement.

Alors, on profite de ces gigantesques racines en se balanceant...
Soudain une chose étrange m'arrive: L'effet de piqure est hallucinogéne, je me met á léviter...
...je vois des petits sangliers de partout accompagnés de petites chauves-souris (et meme des éléphants roses !)

10 juin 2007

"Campement Pavalapatétoi" (4èm)

Histoire de changer des trombes d'eau journalières, d'une longue marche d'approche dans la montagne, de l'ascencion fatigante du donjon... on est partis sur un arbre plus petit, trés dégagé, trés proche du dodo et de la cuisine, ensoleillé, et aussi trés visité !
A leur habitude, les pavas venaient déjeuner avec nous (petites dindes évoluant souvent dans la canopée).

Sous l'oeil du grand-père congo au boules sèches...

Pas de chance pour les siestes, le soleil tape fort, et les oiseaux font trop de bruit quand il arrive...

Comme ces deux lapas, venant se nettoyer la queue mutuellement.


En dehors des attentes sur les perchoirs, le sommeil revient assez souvent.


Le toit trouve alors une nouvel utilité: Para-sol. Le filet retrouve une nouvel vie aprés quelques racomodages.

Et puis l'invasion continue, la troupe de singes Titis débarque (une trentaine).
Ils déambulent en dessous de nous, sautent d'un arbre à l'autre, attrapent tout ce qui passe, goutent les fruit, mangent quelques bouts de feuilles, nous regardent rapidement, puis continuent leur chemin de funnambule.


Sandra préfère imiter le paresseu, c'est moins fatiguant...

Une autre troupe arrive: un peu plus furtive et moins nombreuse, mais tout aussi intrépide !

Reccord du saut battu battu par la maman avec son petit (2èm photo)

Le groupe 1 de l'équipe de 2 se concentre alors de temps en temps, mais il est souvent déranger par le proprio: un lézard qui se prend pour une pava...

Hélas, la colocation ça finit souvent en dispute, surtout qu'en le lieu de vie est pas trés grand (2m sur 2m)
On élargit alors le cercle de vie aux branches alentours, pour les dernières observations.
Les petits Toucans rouges

Et encore des p'tits Titis...
Et pour terminer, le proprio (le lézard) nous a virer... Quelques balanciers avec les fourmis rouges et est tout démonter.

"Campement du Donjon de la Princesse, avec toilettes et vue sur la mer... " (3èm)

Quelques echecs d'abordage les jours précédents, nous emènnent au pied d'un géant (≈ 60m) perdu dans la montagne...
Un petit jeu pour divertir les désintéressés: Trouvez les différences !

Mais le jeu en veut en vaut la chandelle: la cabra s'essoufle vite, sa musolière est malade, on a de plus en plus de mal à la traire, les tirs sont trés nombreux... Chaque tentative échoue !

Sandra en devient folle...


Puis le miracle arrive, la cabra donne son dernier cri et nous envoie enfin sur la première branche (35, 40 m) .
Au millieu de ce chateau végétale, nous trouvons notre suite. La princesse ce met à ses aises...

Cette forteresse est imprenable, avec son épais feuillage, personne ne s'approche...
Nous restons dans notre bulle, essayant de jeter un oeil vers l'extérieur.

Heuresement, plus prés du ciel...

le donjon nous offre une autre merveille: