28 juil. 2007

Et pour finir...

Sur le chemin du retour
Du temps devant l’écran à pixel
Le champ d’ouverture est réduit
Mais l’ouverture d’esprit continue à s’agrandir.

Un nid nomade en canopée

La forêt nous ouvre les portes pour une nouvelle expérience. Les lutins des bois viennent nous accueillir et nous amènent sur les sentiers ocres de leur monde.
Une rivière enchantée coule au pied de leur cachette. Une cascade nous invite à prendre du bon temps, sous le regard discret des grands arbres.
Les lutins nous laissent à nos occupations. Nous nous envolons alors en cîmes des majestueux. L’observation a cédé sa place : Nous nous affairons a tissés notre nid.
Quelques aras rouges fêtent notre venue en continuant leur festin.

Les jours se terminent orangés ou orageux. Enfin, de ces milles bruits étranges, les nuits nous enveloppent dans un monde effrayant et merveilleux…


Le nid est devenue notre espace protégé. Nous explorons ces alentours, d'une branche à l'autre...
...avant de vouloir l’emmener un peu plus loin !?



Les rêves sont parfois difficile à réaliser (mais pas impossible !!!).

De retour au sol, nous cheminons le long des sentiers au cœur de la forêt. Nos charges sont lourdes et nous épuisent. Un pied blanc à la peau lisse nous interpelle et nous invite à tisser notre nid dans son ramage. Mais la chèvre magique est ensorcelée, elle est devenue dangereuse. Nous restons cloués au sol. Le nid mal tissé nous offre sa dernière nuit. Nous sortons en marchant, épuisés. Pour cause: des petits lutins rigolos avaient rajoutés des pierres dans nos sacs ...Un petit bateau nous épargnera les derniers efforts pour quitter cette forêt enchantée:
Océan vert au milles joyaux et milles dangers

18 juin 2007

Regressando por la playa

Derniére image avant une petite galére pour sortir par les plages,


et enfin retrouver la ville et tout ces conforts....

Campement des Dantas (in)visibles

Aprés avoir fait la fiesta a la casita, on est rentré faire un dernier petit campement, histoire de voir les tapirs ou quelques autre court sur pattes. Et la c'est la grosse surprise...
On a rien vu !
Alors on a remballé, ca y est c'est la fin, sniff...

Mais les tapirs aparaissent et nous font leur au-revoir
Muchas gracias

11 juin 2007

Fiesta á la casita

Fatigué du travail dans les autres campements, on est allé se divertir un peu dans un arbre magique: Il se porte avec d'innombrable échasses, formant des coins et des recoins, et des trous, des portes, des escaliers... Je commence ascencion dans cette cathédrale vivante, j'arrive á la fin du prmier étage... Une petite surprise m'attent: Un nid de guépe !! Aïe, ouille, aïe, descente en 8 ém vitesse.
Résultat: Quelques piqures et un bon avertissement.

Alors, on profite de ces gigantesques racines en se balanceant...
Soudain une chose étrange m'arrive: L'effet de piqure est hallucinogéne, je me met á léviter...
...je vois des petits sangliers de partout accompagnés de petites chauves-souris (et meme des éléphants roses !)

10 juin 2007

"Campement Pavalapatétoi" (4èm)

Histoire de changer des trombes d'eau journalières, d'une longue marche d'approche dans la montagne, de l'ascencion fatigante du donjon... on est partis sur un arbre plus petit, trés dégagé, trés proche du dodo et de la cuisine, ensoleillé, et aussi trés visité !
A leur habitude, les pavas venaient déjeuner avec nous (petites dindes évoluant souvent dans la canopée).

Sous l'oeil du grand-père congo au boules sèches...

Pas de chance pour les siestes, le soleil tape fort, et les oiseaux font trop de bruit quand il arrive...

Comme ces deux lapas, venant se nettoyer la queue mutuellement.


En dehors des attentes sur les perchoirs, le sommeil revient assez souvent.


Le toit trouve alors une nouvel utilité: Para-sol. Le filet retrouve une nouvel vie aprés quelques racomodages.

Et puis l'invasion continue, la troupe de singes Titis débarque (une trentaine).
Ils déambulent en dessous de nous, sautent d'un arbre à l'autre, attrapent tout ce qui passe, goutent les fruit, mangent quelques bouts de feuilles, nous regardent rapidement, puis continuent leur chemin de funnambule.


Sandra préfère imiter le paresseu, c'est moins fatiguant...

Une autre troupe arrive: un peu plus furtive et moins nombreuse, mais tout aussi intrépide !

Reccord du saut battu battu par la maman avec son petit (2èm photo)

Le groupe 1 de l'équipe de 2 se concentre alors de temps en temps, mais il est souvent déranger par le proprio: un lézard qui se prend pour une pava...

Hélas, la colocation ça finit souvent en dispute, surtout qu'en le lieu de vie est pas trés grand (2m sur 2m)
On élargit alors le cercle de vie aux branches alentours, pour les dernières observations.
Les petits Toucans rouges

Et encore des p'tits Titis...
Et pour terminer, le proprio (le lézard) nous a virer... Quelques balanciers avec les fourmis rouges et est tout démonter.